Renée-Marie Deumié
Hypnose-thérapeute Paris 20

ThéâtrÔthyrapie

ThéâtrÔthyrapie

Le théâtre est un large éventail de rapports humains : Bien que le temps s’écoule sur la scène de la vie, toujours présente, les émotions, les sentiments, les masques et les décors sont tous en parfaite improvisation du théâtre de notre l’existence.

Le jeu de rôle est une thérapeutique qui démystifie les intrigues et les illusions de la vie.


La théâtrothérapie vise à développer le potentiel humain à partir de la dimension corporelle : la représentation de son histoire personnelle à travers l’interprétation d’un personnage est l’occasion pour l’acteur d’entreprendre un parcours de connaissance de soi, de développement et de guérison "

nous dit Walter Orioli.

En effet, dans son livre Théâtre et thérapie, Walter Orioli analyse et commente tous les processus qui entrent en jeu dans les merveilleuses transformations intérieures qui s’opèrent chez l’acteur- patient. Mimer des émotions, raconter une histoire sollicite imagination et intuition, réflexion et spontanéité.

À travers ces sollicitations, la prise de distance par rapport à soi (« le dé-centrement de soi » – comme précise la psychanalyste France Schott-Bilmann dans sa préface du livre de W. Orioli – pour se projeter dans « quelque chose d’autre-que-soi ») peut induire des comportements différents.

Inconsciemment, nous contactons notre vie intérieure, nous explorons notre potentiel, nous exprimons certains de nos aspects jusqu’alors méconnus. Ce faisant, nous apaisons des tensions internes, ce qui peut aller jusqu’à des guérisons émotionnelles ou spirituelles, voire physiques. Walter Orioli déclame avec passion : « Sans technique il n’y a pas d’art, sans art, il n’y a pas de transformation »

Le théâtre nous conduit à apprécier le divertissement gratuit, le jeu sans finalité, le développement du potentiel individuel et relationnel. Dans ce contexte, nous plaçons notre façon d’être dans l’action scénique, non pas pour donner un caractère pathologique à la société ou à l’individu, mais pour nous affranchir de toute raison « critique » et « pratique », de toute division entre le corps et l’âme.

Les personnes qui résistent le plus à cette « thérapie » sont les adultes bien structurés cognitivement qui ont un rapport problématique avec leur corps. Pour eux, il est plus difficile de se mettre dans une position d’écoute à partir de leur propre corporéité dans l’espace du jeu et de la relation proto-affective.

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